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Alors que les armées napoléoniennes sont engagées sur tous les fronts européens lors de cet été 1809 (Espagne, Autriche et Italie), l’Angleterre attaque le Royaume de Hollande pour prendre Anvers.
Mais après 6 mois de « camping » sur l’île de Walcheren, les anglais se retirent sans avoir prit Anvers.
Pourquoi ? C’est ce que l’on va découvrir ici.

Pendant toute la Seconde Guerre Mondiale, les allemands ont échoués a occuper la moindre partie du territoire du Royaume-Uni.
Et bien ce n’est pas tout à fait vrai car un territoire fut envahi : les îles anglo-normandes.

Faire de grandes choses pour son pays ou pour son armée nationale vous permet, une fois que la mort vous a emportée, d’avoir peut-être un jour votre nom donné à un nouvel équipement militaire (avion, navire, etc.).
Et ce fut le cas d’Henri Dupuy de Lôme.

Quand on observe une bolivienne, on peut régulièrement trouver sur sa tête un chapeau traditionnel : le Bombín.
En le regardant, on ne peut qu’être étonné de sa forte ressemblance avec un autre couvre-chef : le chapeau melon anglais.
Et c’est normal !

Ma réflexion concernant ce sujet qui divise (et fait rire) les différents pays francophones (mais pas seulement) avait débuté par « Pourquoi en Suisse ou en Belgique on dit septante et nonante » tel le bon français que j’étais.

Mais au fil de mes recherches, je me suis rendu compte que la question devait être tout autre.
Alors posons la nous !!!
Pourquoi les français disent quatre-vingt et quatre-vingt-dix ?

L’histoire est faite de grandes rivalités que ce soit entre états ou entre entreprises.
On en a encore eu la preuve récemment avec la course au tourisme spatial entre Richard Branson et Jeff Bezos.
Mais parfois, ces rivalités naissent après plusieurs années d’entente. Et ce fut le cas de Puma et Adidas qui ne formaient à l’origine qu’une seule entreprise : la fabrique de chaussures des frères Dassler.

Chaque année, on peut voir l’armée française mise à l’honneur lors du défilé et des festivités du 14 juillet.
Et si l’ensemble se déroule généralement sans le moindre accro, il y a parfois quelques couacs.
Parlons donc du couac du défilé du 14 juillet 1952.

Réfugié polonais habitant en Suisse, Roman Wardas rêve d’ouvrir un garage automobile dont il serait le propriétaire.
Mais il vit dans la misère et à un grand besoin d’argent pour son projet.